S2 - Cours et séminaires par discipline 2025-2026
/BOUCLE_logo_accueil>
- Cinéma
- Histoire de l’art
- Musique
- Théâtre et danse
REMARQUE : les cours du module Street art sont distingués dans chaque catégorie par une couleur plus vive. Pour voir la liste complète des cours du module, cliquez-ici.
|
CINEMA |
|||||
| Enseignant.e.s | Horaires | Salle | ECTS | Semestre | Niveau |
|
|
|||||
|
Françoise Zamour et |
15H - 18H |
Salle Weil | 6 | S2 | Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : le 19 janvier 2026. A partir de la programmation de la Cinémathèque, de la Fondation Seydoux, du Forum des images et des salles de patrimoine, ce séminaire proposera deux films à voir en salle par quinzaine, avant de réunir les étudiants pour un cours d’histoire du cinéma et une réflexion collective. Au programme des premières séances : Mode et cinéma à la cinémathèque, Viktor Sjöström à la Fondation Seydoux, Raoul Walsh à la cinémathèque. Validation : intervention orale. |
|||||
|
|
|||||
|
Françoise Zamour |
15H - 18H |
Salle Weil | 6 | S2 | Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : le 26 janvier 2026. Depuis une dizaine d’années, le cinéma et les séries s’intéressent de plus en plus à la question du politique, à ses rouages, au fonctionnement des institutions, au comportement des hommes et des femmes qui gravitent autour du pouvoir. En mobilisant les outils de l’analyse et de l’esthétique du film, en cherchant également du côté de l’histoire, des sciences politiques et de la sociologie, ce séminaire cherchera à cerner la manière dont la fiction projette, réinvente, interprète et modifie notre rapport au politique. Pour cette prière année, le séminaire sera centré sur les portraits d’hommes et femmes de pouvoir, entre biopic et documentaire… Validation : mini-mémoire. |
|||||
|
Séminaire de Tutorat |
|||||
|
Françoise Zamour |
UN MERCREDI PAR MOIS 13H - 15H |
à préciser |
6 |
S1/S2 |
Tutorat |
|
CALENDRIER : 24 septembre, 5 novembre, 10 décembre. Suite des dates à venir. |
|||||
|
|
|||||
|
Antoine de Baecque et |
14H - 16H |
Amphi du Mûrier |
6 |
S1/S2 |
Master et doctorat PG ARTS |
|
CALENDRIER : donné à la rentrée. Les deux volumes écrits par Gilles Deleuze, L’image-mouvement et L’image-temps, regorgent de films vus, de films aimés, de films décrits, de films tremplins vers les concepts, parfois les plus divers, intrigants, excentriques. Le philosophe fait feu de tout bois et cela précisément car il est cinéphile, ayant vu beaucoup de films, s’appuyant sur leur analyse de détail. Ce séminaire propose une relecture des écrits de Deleuze via les films et leurs interprétations. |
|||||
|
|
|||||
|
Antoine de Baecque |
18H - 20H |
INHA 6 rue des Petits Champs 75002 |
6 |
S1/S2 |
Avancé |
|
Animé par Antoine de Baecque et programme d’invités à venir (via la liste arts). Ce séminaire interdisciplinaire s’interroge sur les divers modes de l’écriture et de l’intervention critique, en France et à l’étranger. A travers l’étude de certaines personnalités, certaines revues ou journaux, certains lieux, certains courants de la critique cinématographique, on verra comment peut s’opérer de manière singulière et précise la transmission d’une expérience. |
|||||
|
|
|||||
|
Antoine de Baecque |
VENDREDI 10H30 - 12H30 |
Salle Camille Marbo (29 rue d’Ulm) |
6 | S2 |
Initiation PG ARTS |
|
Module "Street ART(s). Arts urbains d’hier et d’aujourd’hui" Mouvement de cinéma essentiellement urbain, la Nouvelle Vague a replacé la ville au centre de ses intérêts, tant esthétique, technologique, économique, sociologique ou politique. La rue a été une forme de « manifeste » pour les cinéastes de la Nouvelle Vague : le in situ de leur revendication, qui tranchait avec le cinéma de studio et qui offrait un cadre d’observation, d’expérimentation, et d’action : filmer la jeunesse dans son contexte, qu’il soit politique ou consumériste. Très vite, ainsi, la Nouvelle Vague apparaît comme un nouvel « acteur de la ville », organisme urbain alors en pleine mutation, pour en dénoncer les travers comme pour en remodeler l’imaginaire. |
|||||
| HISTOIRE DE L’ART | |||||
| Enseignant.e.s | Horaires | Salle | ECTS | Semestre | Niveau |
|
|
|||||
|
Olga Lemagnen |
MERCREDI 14H - 16H |
(sauf les 11/03, 18/03, 8/04 et 15/04 : salle des résistants) |
6 |
S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
PREMIER COURS : le 21 janvier 2026. Dans la première moitié du XXe siècle, la photographie se situe au carrefour de toutes les modernités artistiques qu’elle traverse, intègre et nourrit, au-delà des frontières des mouvements établis. Souvent étudiée et enseignée à part, elle est pourtant présente dans tous les mouvements d’avant-garde, du futurisme à l’abstraction, en passant par le dadaïsme, le surréalisme ou encore le constructivisme. Ce cours propose une lecture transversale de l’histoire des avant-gardes à travers le prisme de la photographie. Il entend montrer comment la reconnaissance artistique de la photographie et celle des avant-gardes se sont construites simultanément et en étroite collaboration dans la première moitié du siècle dernier. Tandis que certains artistes ont fait de la photographie un médium central de leur pratique, d’autres, sans être photographes, y ont eu recours en tant qu’usagers, au point qu’elle envahisse bon nombre de pratiques artistiques : collages, montages, appropriations, détournements. Ce cours examinera comment la photographie a contribué à structurer les mouvements d’avant-garde : soit que ses réseaux aient contribué à leur reconnaissance (Alfred Stieglitz et la galerie 291), soit qu’elle ait conceptuellement nourri leur avènement (André Breton définit l’écriture automatique comme une « photographie de la pensée »). Il montrera enfin comment la photographie a participé à la construction de l’imaginaire de ces mouvements et comment, en retour, ces derniers ont participé à écrire une histoire de la photographie, en lui attribuant des figures fondatrices et en construisant une lignée de continuateurs. Validation : mini-mémoire. |
|||||
|
|
|||||
|
Olga Lemagnen |
(voir ci-dessous) |
Musée d’Orsay, musée d’art moderne et salle Weil |
6 |
S2 |
Ouvert à tous.tes sur inscription |
|
CALENDRIER : la première (23/01 : 14H-18H) et la dernière séance (24/04 : 14H-18H) se feront à l’ENS (salle Weil), les autres à l’extérieur (musée d’Orsay et musée d’Art moderne de Paris). Ce cours, pérenne depuis des années, vise à une initiation, « méthodique » comme l’indique le titre, d’étudiant.es qui n’ont pas une culture préalable en histoire de l’art. Les étudiant.es de première année, celles et ceux venus d’autres disciplines que l’histoire de l’art, y compris des disciplines relevant des sciences exactes, sont les bienvenus. Mais les normaliens qui commencent à préparer le concours de conservateur du patrimoine y trouvent en général aussi leur compte, à cause du spectre chronologique large qu’il embrasse. Ce semestre, le cours proposera un parcours au sein des collections d’art des XIXe et XXe siècles du Musée d’Orsay et du Musée d’Art Moderne de Paris, par une approche qui privilégie d’abord le regard sur les œuvres elles-mêmes et leur analyse. Validation : devoir écrit. |
|||||
|
|
|||||
|
Charlotte Guichard |
MERCREDI 10H30 - 12H30 |
Salle des Actes |
6 | S2 | Master/ doctorat |
|
PREMIERE SEANCE : le 21 janvier 2026. Ce séminaire de recherche porte sur les cultures visuelles et artistiques de l’Empire français, au moment de sa première expansion, puis de sa redéfinition au tournant du dix-neuvième siècle avec la tentative de colonisation de l’Egypte et puis celle de l’Algérie. Il articulera l’histoire de l’empire et de la conquête coloniale aux matériaux visuels, artistiques, artefactuels qui en témoignent. Ce séminaire sera aussi un lieu de discussion des nouveaux travaux en histoire de l’art moderne dans un paysage historiographique en plein renouvellement sur ces questions. Validation : assiduité, participation, note critique. |
|||||
|
|
|||||
|
Charlotte Guichard |
MARDI 9H30 - 12H30 |
(sauf les 20/01 et 14/04 : salle Borel) |
6 |
S2 |
Initiation |
|
PREMIERE SEANCE : le 20 janvier 2026 (en salle Borel). Ce séminaire interroge le rôle essentiel du dessin dans la création artistique, dans le domaine des beaux-arts mais aussi dans les arts décoratifs ou appliqués - les « arts du dessin », comme on les appelle au XVIIIe siècle. Plusieurs questions seront abordées : les apprentissages académiques, les usages du dessin (esthétiques, techniques et scientifiques ou cognitifs) et enfin les spécificités matérielles du médium (avec ses qualités d’adaptabilité, de portabilité, de plasticité). Envisagé comme un médium pluriel, le dessin participe pleinement à la modernité en raison de ses liens avec l’industrie et la manufacture, mais aussi avec l’affirmation d’une subjectivité nouvelle. De nombreuses séances sont prévues devant les œuvres dans les collections parisiennes d’arts graphiques (Louvre, ENSBA, etc.) Au total, 8 séances de trois heures sont prévues. Ce cours est limité à 15 étudiant·es, il est vivement conseillé de s’inscrire au préalable auprès de Charlotte Guichard. Validation : assiduité, participation, mini-mémoire. |
|||||
|
|
|||||
|
Giulia Puma |
LUNDI 16H - 18H |
Salle Paul Langevin |
6 |
S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : le 19 janvier 2026. Dès le chantier de la Basilique d’Assise (XIIIe siècle), les peintres autour de Giotto construisent plus qu’une vie de saint François, une légende. Ce cours introduit à l’iconographie des cycles de fresques italiens du XIIIe au XVe siècle, des frères Lorenzetti à Piero della Francesca, en travaillant la notion d’historia ou récit. Le langage figuratif et son déploiement à fresque sont mobilisés par les peintres pour établir des connexions de sens multiples, et la puissance narrative d’un cycle se mesure à l’aune des différentes temporalités qui y coexistent. Interroger le fonctionnement des fresques comme historiae, c’est prendre la mesure de leur valeur comme œuvres d’art et comme sources historiques. Validation : travail écrit. |
|||||
|
|
|||||
|
Morgan Labar (ENSBA Lyon/enseignant associé Dpt ART) et Daria de Beauvais (Palais de Tokyo) |
UN MARDI 17H - 19H30 |
Salle Weil | 3 | S1/S2 (insécables) |
Ouvert à tous.tes |
|
CALENDRIER S2 : 27 janvier, 24 février (ou 17 février en visio, à affiner), 17 mars, 7 avril et 12 mai. Le séminaire poursuit l’étude des arts contemporains autochtones en contexte globalisé. Les termes « autochtonie », « hybridité » et « anthropophagie » (en référence au Manifeste Anthropophage d’Oswald de Andrade publié en 1928) sont accolés afin de questionner les assignations identitaires et les essentialismes, et d’interroger l’invention de pratiques et d’identités fluides, déjouant les catégories héritées du colonialisme et permettant de repenser les rapports à la nature, au territoire, aux autres humains et aux autres qu’humains. Validation : assiduité, participation, exposé (lecture critique d’articles/chapitres d’ouvrage). |
|||||
|
|
|||||
|
Charlotte Guichard |
UN MARDI PAR MOIS 14H - 16H |
Salle Weil (sauf le 17/03 : à déterminer) |
6 annuels | S1/S2 (insécables) |
Tutorat |
|
CALENDRIER S2 : 20 janvier, 17 février, 17 mars (salle à déterminer), 31 mars et 05 mai. Ce séminaire est réservé aux étudiant·es spécialistes d’histoire de l’art pour lesquels il est obligatoire. On y alternera présentations de recherches en cours (master ou doctorat), questions d’actualité (expositions en cours, ouvrages publiés). Les étudiant·es sont appelés à se saisir de ces séances, c’est-à-dire à y parler, débattre autour de sujets proposés en début de semestre. Validation : la validation du cours dépend de la participation effective de chaque étudiant·e. |
|||||
|
|
|||||
|
Malou Bozec |
10H30 - 12H30 |
Salle U209 |
6 |
S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : le 23 janvier 2026. Les artistes ont-ils joué un rôle dans la construction des hiérarchies interespèces ou bien ont-ils contribué à l’intégration des animaux non-humains dans notre « sphère de considération morale » ? En tant que symboles, matériaux ou agents, les animaux abondent dans les formes artistiques de l’époque moderne. Les chiens ont été interprétés comme des symboles de prestige et de virilité dans les portraits tandis que les poissons sont exposés en tant que marchandises dans les peintures d’étals produites à Anvers à partir des années 1550. Certaines espèces rares et étrangères ont été collectionnées dans des ménageries et ont fait l’objet de méticuleux portraits naturalistes. D’autres encore sont devenues des « animal-made-objects » : les écailles de tortue et les défenses d’éléphants sont à l’origine de nombreuses pièces décoratives. Validation : assiduité, lecture des articles préliminaires à chaque séance et commentaire d’œuvre. |
|||||
|
|
|||||
|
Katie Hornstein,
|
voir calendrier ci-dessous |
voir calendrier ci-dessous | 3 | S2 |
Master/ doctorat ouvert aux étudiant.es intéressé.es |
|
CALENDRIER : - 19 février 2026. Workshop avec Katie Hornstein (master et doctorat) - Salle Lettres 3, 9H30-12H30. Environ 10 places. La formation, d’une durée de 10h, pourra être validée dans le cadre du Diplôme de l’ENS (DENS), du Master PAT (Parcours Arts Transdisciplinaires) du département ARTS et du Master Histoire transnationale du département Histoire à hauteur de 3 ECTS. Pour valider le cycle, il conviendra de s’inscrire avant le 15 janvier auprès de charlotte.guichard@ens.psl.eu. Les étudiants et étudiantes inscrits devront envoyer avant le workshop un court texte (5 pages) présentant leur recherche. Celui-ci sera ensuite présenté et discuté lors du workshop avec Katie Hornstein. Comment les animaux ont-ils participé à la production visuelle moderne ? Si l’iconographie animalière a longtemps dominé en histoire de l’art, cette approche a aussi négligé les questions de destruction écologique, d’agentivité animale et les spécificités historiques des vies non-humaines. |
|||||
|
|
|||||
|
Hélène Desy |
JEUDI 10H30 - 12H30 |
Salle Weil | 6 | S2 | Ouvert à tous.tes |
|
Module "Street ART(s). Arts urbains d’hier et d’aujourd’hui" Ce cours réalisera un panorama des pratiques de la photographie de rue contemporaine dans un contexte international. Nous reviendrons sur les figures fondatrices de la première moitié et du milieu du XXe siècle (Helen Levitt, Harry Callahan, Garry Winogrand, entre autres), afin de situer historiquement les fondements théoriques, techniques et formels de ces pratiques photographiques, et nous concentrer dans un second temps, sur les détournements opérés par les créations plus récentes (Jeff Wall, Philip-Lorca Dicorcia, ...). Les grandes thématiques de la photographie de rue seront identifiées (le portrait de rue, les marges, l’ordinaire, l’intime dans l’espace urbain, l’archive, la surveillance et les contre-visibilités) et analysées au regard des contextes historiques, géographiques et culturels qui traversent le corpus envisagé. Une attention particulière sera accordée à l’interrogation des modes de sociabilité et des implications éthiques, esthétiques et opérationnelles qu’engendrent les photographes lorsqu’ils choisissent de s’inscrire dans l’espace public. Validation : au choix (mini-mémoire, fiche de lecture, exposé). |
|||||
| MUSIQUE | |||||
| Enseignant.e.s | Horaires | Salle | ECTS | Semestre | Niveau |
|
|
|||||
|
Fériel Kaddour |
LUNDI 14H - 17H |
Salle des Actes |
6 |
S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
PREMIER COURS : le 19 janvier 2026.
Validation : mini-mémoire. |
|||||
|
|
|||||
|
Fériel Kaddour avec la collaboration des étudiants musicologues du Département ARTS |
calendrier précisé à la rentrée |
Salle Musique 46 | 6/S | S1/S2 (sécables) |
Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : précisions à la rentrée Qu’est-ce que la recherche en musicologie ? La discipline est diverse et se prête à des méthodes de travail contrastées. Ce séminaire tentera d’en offrir un panorama aussi large que possible, en s’ouvrant notamment à des questions et des répertoires peu abordés par les autres enseignements musicologiques du Département (musique ancienne, musiques actuelles, histoire des institutions culturelles, sound studies, etc.). Certaines séances seront consacrées à des questions spécifiques de méthode. Elles sont vivement recommandées aux étudiant.e.s de Master. Programme détaillé à la rentrée. Validation : mini-mémoire. |
|||||
|
|
|||||
|
Karol Beffa |
MERCREDI 14H30 - 16H30 |
Salle de musicologie (45 rue d’Ulm) |
6 | S2 | Avancé |
|
PREMIERE SEANCE : le 28 janvier 2026. Ce cours propose un aperçu de l’histoire de l’orchestration, depuis l’orchestre classique jusqu’à l’orchestre romantique et moderne. Il cherche à faire acquérir aux étudiants une connaissance des particularités des différents instruments, afin qu’ils arrivent à une meilleure maîtrise de l’écriture pour diverses formations, de la musique de chambre au grand orchestre : une partie du cours précise, grâce à l’analyse, la fonction de chaque instrument dans l’ensemble ; une autre partie aide les étudiants à se familiariser avec l’écriture pour cordes ou pour vents. This course offers an overview of the history of orchestration, from the classical orchestra to the romantic and modern orchestra. The aim is to give students an understanding of the particularities of the different instruments, so that they can master the art of writing for a variety of ensembles, from chamber music to large orchestras : one part of the course uses analysis to clarify the function of each instrument in the ensemble ; another part helps students to familiarise themselves with writing for strings or winds. Validation : participation et exposé. |
|||||
|
|
|||||
|
Fériel Kaddour et Fabre Guin |
MARDI 8H30 - 12H30 |
Salle musique 46 |
12/S |
S1/S2 |
Avancé |
|
PREMIERE SEANCE : le 20 janvier 2026. Réservé en priorité aux musicologues spécialistes, ce cours se compose en deux temps : le premier (8h30-10h30 – Fériel Kaddour) est consacré à l’analyse musicale, et le second à l’harmonie (10h30-13h – Fabre Guin pour l’écriture ; exercices d’harmonie au clavier avec F. Kaddour). Le second temps est réparti par groupes de niveaux, constitués à la rentrée. Certaines séances auront lieu en commun (analyse + harmonie, avec les deux enseignants, sur l’ensemble de la matinée). Cours d’analyse : il a pour but l’acquisition d’une connaissance tant technique qu’esthétique des styles « classique » (Mozart, Haydn, Beethoven), « romantique » (Schubert, Schumann, Chopin, Liszt) et post-romantique (Brahms, Mahler, Wolf). Répertoire du S1 : Beethoven (formes longues), Mozart-Schubert (formes brèves : analyse harmonique). Cours d’écriture : Validation : contrôle continu. |
|||||
|
|
|||||
| Fériel Kaddour | Du 2 au 6 mars 2026 | STAGE DÉLOCALISÉ à Bois-Guilbert (Normandie) |
6 | S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
INSCRIPTION : Le nombre de places est limité : s’adresser à feriel.kaddour@ens.fr pour solliciter une inscription. Chaque journée du stage s’organise comme suit : un cours le matin, un atelier d’ouverture l’après-midi, une discussion thématique le soir (autour d’une question, d’un texte, ou d’un spectacle). Le poète marchant par les sentiers forestiers : telle semble être la posture convenue du Lied romantique (et post-romantique) allemand. C’est cette posture qu’il s’agira d’interroger, en travaillant sur quelques œuvres centrales de ce répertoire (Schubert, Schumann, Mahler). La spécificité du séminaire tient à ses approches pluridisciplinaires. Même si la musique sert de fil conducteur au travail, il n’est pas impératif de savoir lire une partition pour s’y inscrire. Les travaux de recherche seront répartis par groupes pluridisciplinaires : toutes les compétences, théoriques et artistiques, y sont les bienvenues ! Validation : soit sous forme de séminaire (travail écrit ou exposé), soit sous forme d’expérience collective de recherche (précisions données en début de semestre). |
|||||
| THEATRE ET DANSE | |||||
| Enseignant.e.s | Horaires | Salle | ECTS | Semestre | Niveau |
|
|
|||||
|
Julia Gros de Gasquet |
10H30 - 12H30 |
Salle Weil | 6 | S2 |
Ouvert à tous.tes |
|
Les liens entre théâtre et musique sont multiples : qu’il s’agisse de musiciens et musiciennes qui accompagnent une représentation ou d’intermèdes tissés de manière plus ou moins lâche à la trame théâtrale, qu’il s’agisse de la voix des comédiens et comédiennes, de ses effets sur l’auditoire, la musique et le théâtre sont indissociables. Comment cette co-présence des arts a-t-elle été pensée et mise en œuvre sur le temps long de l’histoire ? Quelles sont les récurrences, les permanences ou les ruptures esthétiques ? Comment rendent-elles compte du théâtre en tant que fait social, esthétique et politique ? Autant de questions que nous aborderons pas à pas, à l’écoute du théâtre, de ses grandes et de ses petites musiques. Validation : assiduité et dossier. |
|||||
|
|
|||||
|
Julia Gros de Gasquet |
MARDI 14H - 16H |
Salle Paul Langevin (29 rue d’Ulm) |
6 | S2 | Ouvert à tous.tes |
|
Ce cours interrogera la notion de matrimoine, son ancrage théorique récent et sa mise en pratique notamment dans les travaux de Perry Gethner, Henriette Goldwyn et Aurore Evain. Nous lirons et mettrons en voix les théâtres de femmes qui se sont écrits et joués aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Nous réfléchirons à l’existence de ces textes du point de vue de leur performance, du canon théâtral dont ils relèvent et des circuits de production dans lesquels ils ont été créés ; nous accèderons à leur valeur intrinsèque, nous percevrons le succès que ces écritures féminines remportaient très souvent et essaierons de saisir les raisons de leur oubli. Validation : assiduité et dossier. |
|||||
|
|
|||||
|
Aurélien Degrez |
MERCREDI 9H30 - 12H30 |
Salle Weil | 6 | S2 | Ouvert à tous.tes |
|
PREMIERE SEANCE : le 21 janvier 2026. Ce cours propose d’introduire les grands enjeux et repères historiques de la danse de la seconde moitié du XX ème siècle à nos jours, à partir d’une question simple mais centrale dans le champ universitaire et artistique : Qu’est-ce que la danse contemporaine ? (Frimat, 2010). De quoi ce contemporain est-il le nom lorsqu’il qualifie des pratiques scéniques si diverses depuis les années 1950 ? S’élabore-t-il en simple opposition aux canons du classique ? Quelles distinctions peut-on relever entre le « contemporain des débuts » en comparaison à la scène chorégraphique d’aujourd’hui, pourtant qualifiée elle aussi du même terme ? Validation : assiduité, exposé oral ou dossier écrit. |
|||||